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Les Bas-fonds du Baroque

24.02 - 24.05.2015
http://www.petitpalais.paris.fr/

De nombreuses expositions ont mis en scène la Rome fastueuse et virtuose du Seicento, héritière de l’Antiquité, au service du pouvoir triomphal des Papes. Mais la fresque se doit d’être plus complexe. L’ambition de cette exposition est de montrer, pour la première fois, l’envers du décor de cette Rome splendide du premier XVIIe siècle : non plus la Rome du Beau idéal , mais celle d’après nature. Car cette autre Rome - la Rome grossière et commune, celle des vices, de la misère et des excès fut à l’origine d’une production artistique inédite et stupéfiante, tant par sa diversité que par ses paradoxes et ses inventions.

L’exposition présentera prés de 70 tableaux majeurs créés à Rome durant la première moitié du XVIIe siècle par des artistes italiens, français, hollandais, flamands, allemands et espagnols, de Simon Vouet à Claude Lorrain, de Bartolomeo Manfredi à Valentin de Boulogne. Elle rassemblera des prêts d’institutions publiques internationales prestigieuses ainsi que des oeuvres provenant de collections particulières.

Baccarat. La légende du cristal

15 octobre 2014 – 4 janvier 2015 
http://www.petitpalais.paris.fr

À l’occasion du 250e anniversaire de Baccarat, le Petit Palais exposera dans ses Grandes Galeries les chefs d’oeuvre de la plus illustre manufacture de cristal au monde, étonnants témoignages de la virtuosité de ses artisans.

Il s’agit de la première rétrospective en France dédiée à Baccarat depuis l’exposition du Bicentenaire aux Arts décoratifs en 1964. En accord avec l’architecture du Petit Palais élevé pour l’Exposition universelle de 1900, l’exposition présentera les créations de Baccarat conçues pour les grandes expositions parisiennes de 1823 à 1937, au cours desquelles la manufacture conquiert une notoriété internationale. C’est également à la faveur de ces rendez-vous que Baccarat attire par son éclat les commandes des grands de ce monde.

Paris 1900, la Ville spectacle

2nd April 2014 - 17th August 2014
www.petitpalais.paris.fr

L’exposition «Paris 1900, la Ville spectacle» invite le public à revivre les heures fastes de la capitale française au moment où elle accueille l’Exposition Universelle qui inaugure en fanfare le 20e siècle. Plus que jamais la ville rayonne aux yeux du monde entier comme la cité du luxe et de l’art de vivre. Plus de 600 oeuvres – peintures, objets d’art, costumes, affiches, photographies, films, meubles, bijoux, sculptures… - plongeront les visiteurs du Petit Palais dans le Paris de la Belle Epoque. Les innovations techniques, l’effervescence culturelle, l’élégance de la Parisienne seront mis en scène comme autant de mythologies de ce Paris dont la littérature et le cinéma n’ont cessé depuis de véhiculer l’image dans le monde entier.

Dans une scénographie inventive intégrant le tout nouveau cinématographe au fil du parcours, le visiteur est convié à un voyage semblable à celui des 51 millions de touristes qui affluèrent à Paris en 1900.
Le parcours organisé autour de six « pavillons » débute par une section intitulée « Paris, vitrine du monde » évoquant l’Exposition Universelle. A cette occasion, les nouvelles gares de Lyon, d’Orsay et des Invalides sont construites tout comme la première ligne du « métropolitain ». Des projets architecturaux, des peintures, des films mais aussi de pittoresques objets souvenirs et des éléments de décors sauvegardés, rappelleront cette manifestation inouïe.

Mais Paris 1900 ne saurait se résumer à l’Exposition Universelle : la Ville lumière proposait bien d’autres occasions d’émerveillement et de dépenses. Dans les magasins de luxe et les galeries d’art, les amateurs pouvaientdécouvrir les créations des inventeurs de l’Art Nouveau, présenté ici au sein d’un second pavillon dédié aux chefs-d’oeuvre de Gallé, Guimard, Majorelle, Mucha, Lalique…

La troisième section dévolue aux Beaux-Arts démontre la place centrale de Paris sur la scène artistique. À cette époque, tous les talents convergent vers la capitale pour se former dans les ateliers, exposer dans les Salons et vendre grâce aux réseaux montants des galeries d’art. Des toiles du finlandais Edelfelt, de l’espagnol Zuloaga ou de l’américain Stewart, évoqueront ce climat international. Mais l’accrochage confronte aussi les oeuvres de Cézanne, Monet, Renoir, Pissarro, Vuillard, avec celles de Gérôme, de Bouguereau ou Gervex, gloires acclamées tant de l’Académisme que de l’Impressionnisme enfin reconnu, du Symbolisme tardif ou de figures plus nouvelles, comme Maillol ou Maurice Denis, tandis que triomphe l’art d’un Rodin.

Jordaens 1593 - 1678: The Pride of Antwerp

www.petitpalais.paris.fr
19th September 2013 - 19th January 2014

Of the three greats of 17th-century Flemish painting – Rubens, Van Dyck and Jordaens – Jordaens is perhaps the least known in France, having never had a major retrospective in this country. Now, the Petit Palais is taking on the challenge: in the field of classical painting Jordaens: the Pride of Antwerp is set to be the major event of the upcoming Paris exhibition season.

Backed up by superb scenography and numerous loans of remarkable works from leading French and International museums, this retrospective will restore Jacob Jordaens (1593-1678) to his rightful place as the pride of Antwerp. Still hard at work more than thirty years after Rubens' death in 1640, Jordaens’ long career and the ability to turn out sizable, dazzling canvases with the assistance of a rigorously organised workshop, saw him provide a whole section of Europe with altar paintings and large, mythological compositions. At a time when Antwerp was in decline as the Continent's economic capital, Jordaens kept its prestige alive with the sheer abundance and colourfulness of his artistic output.

On loan from collections not only in Belgium, but also in Russia, America, Sweden, Hungary, Jerusalem, Madrid and Vienna, the 120 works on show at the Petit Palais are an eloquent testimony to the extent and variety of his inspiration: from family portraits to large religious works, from the famous Flemish Proverbs series to banquet scenes, such as The King Drinks and tapestry cartoons. Here, we see a bourgeois man who hardly ever left his home city drawing on a host of sources ranging from Rubens to Caravaggio, the Venetian Renaissance masters and the heritage of antiquity, and combining them with the personal verve that won him international renown.