du 17 Décembre 2015 au 15 Février 2016
http://www.louvre.fr
De Parme à Casalmaggiore, en passant par Rome et Bologne, l’exposition permet de suivre pas à pas l’évolution fiévreuse de l’une des plus belles mains du dessin italien.
Durant les premières décennies du XVIe siècle apparut, dans une Italie que bouleversaient troubles et déroutes, un nouveau style, qui devait bientôt devenir un style européen : le maniérisme. L’on n’avait rien vu de tel depuis l’art gothique. D’une nation à l’autre, les mêmes formes raffinées et sophistiquées, les mêmes tours de force s’exerçaient, se répondaient… L’art de Michel-Ange, du Corrège ou de Raphaël offrait un socle solide à cette nouvelle esthétique fragile, savante et virtuose, qui exigeait que l’on ait du style, que l’art assume sans limite la haute idée qu’il se faisait de lui-même et que ce vertige d’idéal reste toujours indépassable !
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De Parme à Casalmaggiore, en passant par Rome et Bologne, l’exposition permet de suivre pas à pas l’évolution fiévreuse de l’une des plus belles mains du dessin italien.
Durant les premières décennies du XVIe siècle apparut, dans une Italie que bouleversaient troubles et déroutes, un nouveau style, qui devait bientôt devenir un style européen : le maniérisme. L’on n’avait rien vu de tel depuis l’art gothique. D’une nation à l’autre, les mêmes formes raffinées et sophistiquées, les mêmes tours de force s’exerçaient, se répondaient… L’art de Michel-Ange, du Corrège ou de Raphaël offrait un socle solide à cette nouvelle esthétique fragile, savante et virtuose, qui exigeait que l’on ait du style, que l’art assume sans limite la haute idée qu’il se faisait de lui-même et que ce vertige d’idéal reste toujours indépassable !